
Plongée perturbante dans la psyché d’un paumé solitaire, d’un dingue banal d’un agent d’entretien aux liens, disons, un peu trop étroits avec les déchets qu’il trouve. Récit très noir, où l’horreur est à peine suggérée, glissée entre deux phrases banals, Ordure nous entraîne dans la perception atrophiée, aliénée, de Sloper son ordinairement détestable, dégueulasse, personnage. Eugen Marten à faire entendre toute la folie de nos vies.
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