« Dear Greta » flagornent les dirigeants du monde, la bouche flateresse qui porte aux nues.
« How dare you ? » rétorque Greta Thunberg, les yeux furieux.
Elle vole comme un papillon et pique comme l’abeille. Ses yeux dardent des éclairs. Ça vous fout droit le plus voûté de l’assemblée. Greta Thunberg sonne l’alarme et y’a qu’elle qui raisonne. A l’Onu, c’est le ring ! de Mohamed Ali.
Comme une boxsœur de punchline : « How dare you ? »
Sa chaise donne, anglais oblige, la chair de poule. Rien d’un sitting mais un stand up for our climate and our rights.
Up’percute. La bosse au bout du poing verbal révèle le discours creux de l’adversaire. Dans l’assemblée certains méritent juste d’être traités de salle comble.
Elle est lassée des contes de fées racontant une croissance économique éternelle et cette fairy tale qui, sur le plan des négociations, n’a…
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